Translate

lundi 2 février 2015

La petite chienne qui se prenait pour un koala


 Abandonnes-toi !
(ou hommage d'un Maitre à sa soumise)




Note: Une inspiration soudaine... Des mots crus et tendres... Une soumise qui n'ose pas assumer à qu'elle point elle aime la sévérité de son Maitre... Les paroles de celui-ci qui traduisent sa bienveillante fermeté... Et surtout à quel point il aime la dominer, la voir jouir de ses mains... Elle est belle... Elle est femme... Elle est soumise... Il la respecte... Il la soumet ... Il la domine... Ils s'aiment.
N'hésitez pas à laisser une petite trace de votre passage, ou à donner votre avis sur ces quelques mots... 

 


Elle: Quelques mots, durs, crus... Je n'aime pas ce mot chienne... Sauf dans ta bouche, dans tes yeux, dans tes regards, dans tes gifles, dans ta façon de me faire l'amour... J'aime sentir ton plaisir... J'aime quand tu m'oblige, j'aime quand j'ai peur... Quand je perd le contrôle jusqu'à ce que tu fasse jaillir mes pleurs... J'aime que tu me fasse jouir ainsi... Pour me consoler ensuite si tendrement... Alors pour une fois je verse l'eau de rose dans un flacon, et je dévoile ce plaisir bestiale, sans honte, sans gêne... animal....  J'écris votre plaisir, emprunt du mien... Lorsque je sens vos yeux sur moi... Maitre... 




Lui: Oh mon petit Lys blanc comme j'aime te cueillir au creux de ma main de si bon matin. Toi à plat ventre sous l’édredon, les yeux encore clos, échevelée par les rayons du soleil. Mes doigts enfouis dans la corolle de ta fleur, tandis que ton cul se tend comme un arc. Comme tu es trempée par la rosée du matin, ma Luciole. Un ruisseau te traverses s’entremêlant dans tes racines de chair, et je te voit telle une tige sous la tempête se tortiller de plaisir. Alors je pose ma seconde main dans le creux de ton dos, tandis que la première quitte tes sombres creux pour venir te fustiger les pétales. Elles se balancent sous mes douces caresses autant que ta gorge halète sous les mes coups secs. Oh que tu aime que je te claque, que je te fesses, que je te malaxe ton dodu fessier, comme on pétri du pain. Je croque la rougeur de tes dunes. Mes dents  marquent ta peau de cristal, tu es mienne, tu m'appartient, je marque ton corps comme un objet que je possède. Je sens ta voix qui tremble, ma main descend... Ton bourgeon est ouvert et pourrait accueillir tout un bouquet. C'est toute ma main que j'y glisse, tout mon poing, et toi tu cries, tu supplies, insatiable petite chienne d'amour, tu en veux encore... Tu es ouverte de toute part, tu te donnes, ouverte, brûlante. Tu es à moi, ma petite poupée, béante d'envies ! 




Je sens la jouissance au bord de tes lèvres, alors je retire la main. T'attrapes violemment par les cheveux, et te traines à même le sol hors du lit. Tes genoux cognent sur la moquette, alors je tire plus fort sur ta crinière. Ta peau nue essuie la poussière à chacun de tes trottinements. Tu ruisselles de partout ma Luciole, ça laisse des traces sur le sol, ma cochonne, ce que tu peux être sale... Je te traines jusqu'à la baignoire. Je m'accroupis. Tes yeux se plongent dans les miens larmoyants, ma petite soumise. Tu me lance ce regard de petite chienne battue, mais je sais que tu aimes ça ma petite trainée. Je te gifles si fort que mes doigts impriment ta joue. Ferme la bouche. Tu es incandescente ma chienne, indécente de tes envies. Je te fait taire en glissant mon sexe dans ta gorge, profondément... Jusqu'à ce que je sente que tu t'étouffes.... Tu trembles... Suce, tu n'est bonne qu'à ça...  Je sens ta peur, tes envies, ton excitation... J'aime jouer de ma position, jusqu'à ce que tu en perdes la tête et t'abandonnes... Tu es mon jouet... 




Je te met dans la baignoire, toujours à quatre pattes, la croupe offerte... Ton cul se tend, encore... Ma ceinture se dégrafe... Tu pleures, supplie... Je glisse le cuir avec délicatesse sur tes pommes roses et l'abat afin qu'elle te morde la chair... Tu te cambres, telle la jument qui se cabre... Encore et encore... jusqu'à ce que tu pleures à en boire la tasse... Pleine de savon... Tu crachotes ma cochonne... Et je fait sadiquement semblant d'ignorer que tu t'étouffes, et cingle plus vite, plus fort... Tu sanglotes à chaudes larmes, ton corps est pris d'énormes soubresauts. Va tu laisser tes bras se dérober, et t’effondrer dans la baignoire et perdre ton droit de jouir... Ne déshonore pas ton Maitre, petite catin !  Mais je sais que tu aimes ça ! Avoue le... sale petite menteuse. Je glisse deux doigts profondément au plus profond de ta corole. Tu me supplies petite vicieuse... Mais ton corps te trahit, ton cul est ouvert comme la mer rouge prête à être écartelé par Moïse. Je n'ai même pas besoin du rosebud pour y glisser ma verge gorgée de sang. Alors je m'enfonce sèchement en toi. Dans ton cul. Tu cries, ma chienne. Je tire ta tête en arrière et te chevauche avec fougue, longtemps... Je glisse mes doigts dans ta bouche pour que tu te taises... Cela t'excite encore plus, tu hurles ton plaisir, et j'aime t'entendre ainsi, sentir que tu t'abandonnes aveuglément... Tu demandes grâce mais tu jouiras trois fois ma jument, avant que je lâche mon écume dans ta caverne qui attend la marée.  Un râle rauque puis le silence...




 Tu te retourne servilement ma soumise et vient me lécher le doigt, embrasser la main qui te châties pour ton bien. Alors enfin je m’assois dans la baignoire, et tu t'accroches à moi mon petit koala... Tu ferme les yeux, et te blottit tendrement mon amour... Mais je voit ton visage, si épanouis et paisible.. Alors je pose mes lèvres sur les tiennes, car c'est comme ça que je t'aime.






Humble offrande d'une soumise à son Maitre, 
Lee.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire