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samedi 5 septembre 2015

Récompense pour Chipie Pestouille !


Tout vient à point à qui sait attendre !



 



Il y à quelques jours de cela... ou devrais je dire quelques mois, pour les un an de mon blog j'ai organisé un petit concours à celui qui me mettrais le " je ne sais plus combien-tième" commentaire... Le hasard (promis juré, mais pas craché parce que c'est dégueu :D ) à désigné pour grand gagnante Chipie Pestouille, une nouvelle blogueuse pétillante, qui est devenue comme elle le dit si bien ma "coupine" des plus délicieuses bêtises à commettre, pour faire tourner ces Messieurs en bourrique... Mais chut faut pas le dire... 

Je vous conseille d'ailleurs vivement d'aller lire son blog coloré juste ICI. Elle publie de plus en plus d'articles et de récits troublants, qui ma foi ne laisse pas indifférent, sa plume est entrain de s'affiner pour notre plus grand plaisir, à la vitesse de la Lumière... Mon article préféré, qu'elle à écris, est sa tendre histoire de cigarette, je vous la conseille.

Tout ça pour dire que en récompense je lui devais un récit... Qui à mit beaucoup de temps à arriver, et qu'à présent elle m'a autorisé à publier sur mon blog... En espérant qu'il vous emportera avec nous. 

Ton cadeau, rien que pour toi, douce Lilou. 
Lee.



*******


Il était une fois deux jeunes femmes assez réputées pour leurs attitudes de chipie. D'un côté il y avait Lilou, cette nouvelle blogueuse avec une plume pleine de promesses, mais très indisciplinée, et de l'autre Lee cette Funambule toujours entrain d'entrainer ses amies dans ses âneries. Toutes deux aimaient jouer avec les mots, telle une danse, en essayant de partager leurs plaisirs charnels; et
appréciaient de prendre le temps d'écrire de joli récits pour les quelques lecteurs qui amicalement passaient sur leurs blogs, afin de partager cette passion commune des lunes pourpres. Plus le temps avançais, plus elles sympathisaient et appréciaient de se laisser des commentaires, voir des mails pour discuter de tout un tas de choses, et féliciter l'autre quand l'un de ses récits plaisait.

Un jour, alors que Lee promettais une récompense pour celui qui déposerais le énième commentaire sur son blog, Lilou involontairement fût la grande gagnante. Ravie, elle venais de remporter un récit sur mesure made in Lee. Pas peu fière, elle prit patiemment le temps dé répondre aux questions de Lee, qui voulait cerner ses attentes et lui offrir un écrit qui elle l'espérait l'emporterais le temps d'une lecture, dans un fantasme troublant. Seulement, cette jeune chipie de Lee, bien qu'étant honnête, était comme à son habitude très mal organisée, et plus le temps passait, plus Lee promettais de se dépêcher de lui offrir publiquement son histoire sur mesure, moins Lee trouvais de temps pour le faire. A sa décharge la double formation de Lee, représentait une grosse charge de travail...

Mais les choses s'éternisaient... Pourtant cela lui faisait si plaisir d'offrir ce petit cadeau à Lilou en guise de remerciement pour tout son soutient, mais aussi parce que Lee appréciais d'avoir sympathisé avec elle. Mais la bonne volonté ne fait pas tout, il faut s'y atteler. Quand le nouveau Monsieur de Lee appris cela, il intima vivement à Lee de tenir ses engagements, mais malgré elle, elle laissa les choses trainer, et légitimement après plusieurs mois, Lilou s'impatientait. A force d'échanges de commentaires, Lilou fût contacté par le Monsieur de Lee, qui lui demandais si elle avait des nouvelles de son récit. Au départ un peu étonnée, notre jeune gagnante, reconnue qu'elle attendais toujours sa récompense... Et plus le Maitre de Lee, insistait, plus Lilou se laissais aller à dire que le comportement de son amie envers elle était loin d'être correct.

Maitre Spanklee, contrarié de l'attitude de sa petite soumise, la menaça d'une cuisante fessée, qu'il s'engagea à lui donner. Mais cette chipie de Lilou, lui dit que cela ne la dédommageais en rien pour le préjudice causé et cette attente interminable. Alors, après une longue réflexion, Maitre Spanklee, promis à Lilou que si Lee ne trouvais pas le temps urgemment d'écrire un récit, Lilou serait invitée à assister à la punition... Lee qui n'avait jamais reçu de fessée réellement punitive en public sentie son cœur faire des bonds dans sa poitrine à cette idée, malheureusement la frayeur d'être ainsi punie n’eus pas gain de cause et la sanction tomba après près de six mois d'attente pour un malheureux récit, Lee recevrais la fessée en présence de Lilou, invitée en compagnie de son fesseur. Lee eut beau supplier son tendre Maitre, il ne céda pas, même lorsque Lee eut terminé le récit.

Le rendez vous fût pris à l'automne, juste après la rentrée, au cœur des ruelles Parisiennes autour d'un café. Maitre Spanklee et sa petite chipie arrivèrent un peu en avance, et s'installèrent en terrasse. Lee se sentait à la fois impatiente de rencontrer Lilou, et troublée et apeurée d'être punie ailleurs que dans l'intimité de son couple... Mais elle avais trop tiré sur la corde et la patience de son amie, elle le savait... Lilou finit par arriver avec son Monsieur avec près d'un quart d'heure de retard. Naturellement nos deux chipies se firent la bise, et se mirent à papoter comme si elles se connaissaient déjà. Au passage, le Monsieur de Lilou s'excusa pour leur retard, en précisant que Lilou n'arrivait pas à remettre la main sur ses clefs, et que c'est cela qui les avaient mis en retard. Lilou rougie discrètement espérant que cela ne lui coûte pas la peau des fesses au sens littéral du terme. Après une bonne heure très agréable à siroter un boisson fraîche sur la terrasse, Maitre Spanklee invita toute la petite troupe à le suivre.

Lee marchais sur le trottoir en compagnie de Lilou, un peu au ralentit, ses jambes flageolaient un peu comme si elles étaient en coton, l'approche imminente de cette fessée publique la troublais terriblement; autant qu'elle la craignais. Devant, ces messieurs marchaient bon pas, en discutant de l'éducation de ces demoiselles qui demandaient parfois beaucoup de patience. Lilou voyant que son amie se décomposais au fil du trajet, en profita pour la charrier sur la fessée qu'elle allais recevoir:

- Ah ma petite Lee, tu vas recevoir une sacré fessée, j'en suis sûre...
- Oui ben ça va je sais, c'est à cause de toi ça !
- J'aimerais pas être à ta place dit-elle en riant. Et puis comment ça à cause de moi ? C'est toi qui depuis 5 mois me fait poireauter avec cette histoire de récit...
- Oui je sais... Mais c'est toi qui à insisté auprès de mon Monsieur, vilaine ! Gronda Lee en lui tirant la langue.
Lilou se mit alors à trottiner en sautillant sur le trottoir et en chantonnant de manière à narguer Lee: "La fessée c'est pour qui ? Pour qui avez vous dit ? Pour Mam'zelle Lee ? Oh ouiiiiii" continuais t6elle en boucle. Elle sautillais en regardant Lee qui marchais derrière elle d'un air goguenard en chantonnant, et à force de ne pas regarder devant elle, Lilou entra en collision avec son Monsieur qui s'était arrêté. Il l'attrapa sévèrement par le bras:

- C'est pas bientôt fini oui... Sinon j'en connais une autre qui va la recevoir la fessée...

En une seconde Lilou se décomposa.

- Non... c'est pas juste... je me calme promis.
- Tu es sur ? Demanda t'il sévèrement.
- Oui promis dit elle d'une petite voix.
- Tu as intérêt à te tenir à carreaux... Je t'ai à l’œil... Tu devrais soutenir Lee plutôt... et méfie toi parce que tu as une fessée en sursis je te rappelle... Car pour la millième fois tu avais encore égaré tes clefs au lieu de les ranger à leur place, ce qui à fait que nous sommes arrivés en retard je te rappelle... Donc je te conseille vivement d'être discrète comme une souris cette après midi, si tu ne veux pas te retrouver la culotte aux chevilles !
- C'était juste pour l'embêter un peu, comme le font les chipies entre elles.... souffla Lilou essayant d'attendrir du regard son Monsieur qui fronçait les sourcils.

Ces Messieurs soufflèrent exaspérés et nos quatre comparses reprirent leur chemin paisiblement. Arrivée dans l'appartement de Lee, Maitre Spanklee lui demanda d'installer les invités dans le canapé, et de leur servir à boire, ce qu'elle fit sagement ce n'était pas le moment d'en rajouter... A peine elle s’exécuta, que son Maitre lui intima d'aller au coin. Tout à coup Lee sentit une vague d'angoisse l'envahir:

- Oh nan... geint t-elle... Pas le coin devant les invités... dit elle en se tortillant... S'il vous plait... 

Son Maitre se leva et s'approcha sévèrement d'elle, et par automatisme Lee mis ses mains pour protéger ses fesses, cachées sous une jupette à motifs noirs et rouges.

- Enlèves tes mains immédiatement.


L'ordre ne laissais aucune place à la négociation et penaude Lee les enleva. Monsieur lui assena une énorme claque sur les fesses.

- Maintenant tu vas au coin et tu obéis, tu es punie... Est ce que je suis clair ? 
- ... 
Une deuxième claque s'abbatit sur ses fesses.

- Oui Maitre... c'est clair dit elle à voix basse, n'osant plus lever le bout de son nez de peur de croiser son regard ou celui des invités qui n'en loupais pas une miette.

Lee fila donc au coin pendant quelques minutes durant lesquels son Maitre vint déposer un baiser sur son front, tout en relavant sa jupe. Elle entendis une chaise être tirée au centre de la pièce, et quelques secondes plus tard la sentence tomba:

- Lee viens ici.... 

Sans se faire prier, elle vint à pas penaud face à Monsieur qui sans hésiter l'allongea sur ses genoux. Lilou s’enfonça dans le canapé tout contre son Maitre à la fois captivée par ce qui se déroulais sous ses yeux, pleine d'envies, et en même temps inquiète pour son amie qui allait passer un sale quart d'heure, tout à coup Lilou n'avait plus du tout envie de la provoquer. Elle sentit même le besoin de resserrer ses cuisses, étant donné le trouble qui s'insinuait délicieusement en elle. Un plaisir à s'en lécher les doigts... 




La fessée commença sur le collant de Lee, à la main, sévère, lent. Elle essayais de ne pas bouger et d'être le plus digne possible. Mais très vite le collant rejoint ses chevilles, l'impact s'accéléra, et la douleur de la fessée devint plus difficile à gérer. Qui plus est, Monsieur la sermonnais vivement, et sentant sa déception, Lee sentais son cœur se gonfler de larmes, non pas par douleurs, mais elle ne supportais pas de sentir son Maitre adoré fâché après elle, encore mois hors de leur intimité à deux:

- Lee, ton comportement représente l'éducation que te donnes ton Maitre, et lorsque tu ne tient pas tes engagements, c'est moi que tu mets en cause... tu as consciences de cela ? 
- ...  
- Tu entends dit -il en continuant à lui claquer les fesses encore plus vivement tandis qu'elle commençais à geindre malgré elle.
- Uhhh... Oui...
- Oui qui ?
- Oui Maitre. Dit elle le souffle saccadé.
- Je ne veux plus jamais que ça se reproduise, est ce que c'est clair ?
- Oui... uhhh Oui... aïe.. Maitre. Ajouta t-elle en commençant à gigoter.

La fessée finit par s'arrêter au grand soulagement de Lee qui était au bord des larmes.

- Relèves toi...
 
Elle s’exécuta et sentais à présent ses fesses dégager une chaleur cuisante sous sa jupe.

- Face à moi... voilà.
 
Maitre Spanklee plongea son regard dans le sien et commença à descendre lentement sa petite culotte, un sourire un brin sadique au coin des lèvres, mais Lee surprise l'en empêcha.

- Non !
- Pardon... ? Tu me dis non à moi ? Retires tes mains toute de suite.
- Non non il y à des invités je vous en prie, dit elle en se dandinant d'un pied sur l'autre. 
- Dit moi encore une fois non et je te gifles.
- Mais c'est bon j'ai été punie dit elle toujours en tenant sa culotte suppliante et de plus en plus honteuse.
-  Rappelle moi comment se donne une fessée Lee ?
Lee sentit une nuée de papillons l'envahir de la tête au pieds, elle en devint muette. Une claque sèche s'abbatit sur sa cuisse. 
- Lee réponds.
- Sur les fesses. 
- Bon enlève tes mains, tu me fatigues souffla t'il exaspéré. 
- Mais Maitre...
Son Maitre la coupa et pris une grosse voix:
- Lee ! Une fessée se donne déculottée et la tienne est loin d'être terminée ! et oui crois moi nos invités vont te voir sanglotter sur mes genoux, cuisses écartées, ton petit sexe luisant, comme une salle gamine, pour que tu ai la honte de ta vie et que TOI  tu ne me fasse plus jamais honte en ne tenant pas tes engagements en temps et en heure ! Mais puisque tu ne veux pas écouter, dit il en retroussant sa manche, tu te mets de suite à genoux face à moi...

Maitre Spanklee ne rigolais plus du tout, et Lee sentait les larmes lui monter, elle n'y couperais pas, elle sentit son sexe se contracter... Elle descendit alors sa culotte immédiatement, suppliante/

- Voilà c'est bon? elle est descendu, je vous en prie...


 


Il prit alors fermement son menton, avec délicatesse:

- Lee, je ne veux plus t'entendre dit-il froidement mais calmement. Plus un mot...Tu n'avais qu'à obéir tout de suite... Si tu ne veux pas que je demande à nos invités de venir t’administrer cette fessée avec moi, tu te calmes tout de suite. Est ce que c'est clair ? Sinon croit moi tu vas le regretter amèrement...
 
Lee avait le souffle coupé, il était rare qu'il soit aussi sévère.. D'un autre côté Lee avait bien conscience que pour l'instant son comportement n'avait pas été exemplaire, et que son Maitre commençais à être réellement déçu...

- Oui... Maitre.. C'est très clair souffla t-elle d'une voix à peine audible.


Les yeux de son Maitre si aimants et sévères en même temps la firent presque vaciller, lorsqu'il relâcha enfin son menton. Sans se faire prier, elle remonta sa culotte noir en dentelle, et se mit à genoux. Tendrement dans un silence religieux, il lui caressa la joue en relevant ses cheveux en arrière, et en indiquant à Lee tendrement de tenir sa tête bien droite... Elle le savait, elle allais prendre une gifle... Alors une larme coula sur sa joue... Il l'essuya, sentant le souffle de sa chipie se saccader, en même temps que leur trouble commun montait, il leva bras et tout à coup...

- Non arrêtez ! Lilou avait bondi du canapé. Non c'est bon, c'est bon je lui pardonne...
- Lilou ! S'exclama son Monsieur.

Lee était touché par le geste de son amie, mais elle ne lui en voulais pas, elle avait poussé son Maitre à bout toute seule, et en public qui plus est; elle savait pertinemment qu'elle risque elle avait pris, en refusant ainsi d’obéir. Lilou n'y étais pour rien.

- Lilou repris son compagnon. De quel droit tu interviens dans la punition d'une autre chipie, tu n'a pas honte.... Tu n'est là que pour assister à la punition de ton amie, que tu as toi même exigée... Après l'avoir nargué... Rassied toi immédiatement ! 
- Non !


Lee intervient:

- Lilou  ne soit pas bête va t'asseoir, tu vas te faire punir, ne t'en fait pas, je sais que je l'ai mérité, dit elle, tristement en jetant un regard en coin à son Maitre qui la regardais d'un œil bienveillant.
- Lilou viens t'asseoir , répéta son homme.
- Non je reste debout par soutien pour Lee, dit elle avec effronterie.
Maitre Spanklee ajouta :
- En tout cas ma chère Lilou, vos fesses ne perdent rien pour attendre...

Lilou surprise, tout à coup se sentit toute troublée qu'un autre homme que son Monsieur la menace ainsi de lui fustiger le fessier.
Maitre Spanklee repris, n'appréciant pas d'avoir été interrompu:

- Bon Lee reprenons, je ne veux plus que tu me désobéisse lorsque je te punie, est ce que c'est bien compris ?

Lee sentant à nouveau son sexe s'humidifier, et son estomac se nouer, reprit la position demandée, et baissa les yeux. CLAC. Sans plus attendre, son Maitre venait de lui mettre une gifle. Quand il faisait ça, Lee à la fois avait envie de lui bondir dessus, et en même temps son excitation était à son comble. Lee ne prenait quasiment jamais de gifle, mais cela avait le dont de la destabiliser, l'aider à s'abandonné sur les genoux de son Maitre et lui faire prendre un plaisir étourdissant. Elle se sentit sonné quelques instant et se frotta la joue, mes yeux embués de larmes. 

- Relèves toi, lui dit-il avec douceur.


Pendant ce temps le Monsieur de Lilou s'était levé, l'avait empoignée par la main, et lui avait coller fermement les fesses dans le canapé, en lui chuchotant à l'oreille, mais assez fort pour que pour Lee et son Maitre entendent aussi: "Tu ne perds rien pour attendre ! Tu auras une fessée pour cette effronterie ! Tu ne bouges plus de ce canapé". Lilou ne répondit pas, ne souhaitant pas que son Maitre ai l'idée à son tour de la fessée ici. 

Pendant ce temps Maitre Spanklee avait basculer Lee sur ses genoux:
- Tu vois Lee... J'en ai marre que tu sois désorganisée... dit il en reprenant sa fessée sévèrement sur ses fesses désormais nues..  Tiens écarte les cuisses lui dit en glissant sa main pour vérifier l'humidité de sa chipie... C'est mouillée Lee dis moi...CLAC, CLAC.
Lee était morte de honte d'être ainsi exposée devant leur invités. Son Maitre repris sévèrement la fessée. 
- Je suis vraiment déçu Lee, tu es toujours en retard, c'est comme ça que je t’éduque?
- Non t-elle... Aie ça fait mal...uhhh... 
Les claque était fortes, rapides, s'alternait sur ses fesses, elle tenta de dégager sa main fermement maintenue dans celle de son Maitre, au bas de son dos, mais rien n'y fit...
- Crois moi que tu vas pleurer à gros sanglots, jeune fille... Tu doit apprendre à tenir tes promesses sinon cela veux dire que je ne peux pas te faire confiance...
Les derniers mots de son Maitre eurent raison d'elle, et elle se mit à pleurer, à sangloter, oubliant tout dignité...
- Non... uhh... vous pouvez me faire confiance... promis ... uhhh je tiendrais mes engagements... je m'organiserais mieux... sa voix se perdit dans ses larmes.


La fessée se ralentit un peu, et Lee se laissa, épuisée et honteuse, complétement choir sur les genoux de son Maitre... Il lui administra encore dix claque bien senties, et la redressa doucement...

- Va t'excuser culotte aux chevilles, auprès de Lilou...

Lee s’exécuta sans oser lever les yeux... Au point où elle en était...

- Lilou... Je suis vraiment désolée... C'est pas que je voulais pas hein.. Mais je manque de rigueur et des fois la vie tu sais... Je suis désolée...
 
Alors Lilou tapota l'épaule de son amie:

- Tu es pardonnée, je t'en veux pas, c'est moi qui suis navrée pour tes fesses... dit elle d'une moue contrite.
Et en direction de Maitre Spanklee, Lilou fronça les sourcils et un brin taquin ajouta:
- Bouhhhh le vilain Maitre de Lee... 
- Lilou ! s'exclama une fois de plus son Monsieur, c'est la fois de trop !


Et ni une ni deux il renversa sur le canapé, sur ses genoux, souleva sa jupette sans prendre de pincette, et la fessa à pleine mains. Lee était stupéfaite...

- Mais c'est pas juste souffla Lilou un peu sous le coup de la surprise et pas très sure d'elle..
- Lilou tu te tais... Tu veux me faire honte aussi...
- Mais j'ai rien fait ! S'insurgea t-elle.

Son Monsieur la redressa fasse à lui vivement. Lee qui était retournée s'asseoir sur les genoux de son Monsieur ne manquais rien de ce délicieux spectacle, tout en se faisant cajoler. A cette instant Lilou lui tournais le dos, et son délicieux fessier légèrement rosé, avait quelque chose de fort troublant. 

- Lilou dit son Monsieur froidement, regarde moi dans les yeux en me disant que tu n'a rien fait, vas y...
Tout à coup Lilou ne pipai plus mot... Et son estomac faisait d'immense loopings à l'intérieur de son ventre, elle osais à peine levé les yeux vers son bien aimé, malheureusement pour elle, son fort caractère, et sa fierté lui firent prendre la mauvaise décision:
- Non .. J'ai rien fait... Dit elle doucement pas tout à fait sûre d'elle. 
Son Monsieur repris:
- Très bien et tu es de mauvaise foi en plus... 
Il semblait déçu... et Lilou regretta immédiatement ses paroles.
- Maitre Spanklee interrogea le Monsieur de Lilou, auriez vous, une bonne brosse à cheveux ou cravache à me prêter par hasard ?
- Mais tout à fait, Lee va se faire un plaisir de vous apporter cela.


 


Ni une, ni deux, Lee s’exécuta lentement, se sentant aussi angoissée pour son amie que si c'était elle qui allais être fessée, la brosse à cheveux ça ne rigolais plus du tout. Lee opta pour la cravache sachant que son amie était plus habituée à l'impact du cuir que de sa grosse brosse en bois, si douloureuse. Solidarité "chipinesque" oblige.Quand Lee revint dans la pièce, Lilou était penchée par dessus le bras du canapé, boxer bleu aux chevilles, et ne pipais plus un mot. Le Monsieur de Lilou remercia Lee pour la cravache et demanda à sa petite ingénue de compter les coups.

SCHLAK
- 1, merci mon chéri.
SHCHLAK
- 2, merci.. uhhh .. mon chéri...

Et cela se poursuivi jusqu'à 30, et Lilou commençait à vraiment avoir le derrière qui lui cuisait. Plus le nombre de coup avançais, plus la voix de Lilou se faisait saccadé, gémissante et haletante. Lee se sentais toute chose. A la fin les fesses nues de Lilou se dandinaient sur le canapé laissant entrevoir toute son intimité. Son Monsieur la rallongea alors sur les genoux, sans un mot très concentré. Lilou gigotais et finit par supplier:

- C'est vrai, c'est vrai j'avoue... J'ai pas été très sage aujourd'hui... Pardon... S'il te plait... 
Son Monsieur stoppa la fessée quelques instants: 
-  Je suis content de te  l'entendre dire... Je t'écoute qu'à tu à te reprocher..
- Monsieur pas ici... 
Trois claques la faisant gémir s’abattirent sur ses fesses
- Pourquoi ? tu as honte... C'est bien normal c'est le but... Et si j'étais vraiment honnête, Maitre Spanklee devrait lui aussi venir faire cuire ton petit derrière pour t'être mêler d'une punition qui ne te regardais pas... Alors je t'écoute dit il en lui assénant deux autres claques qui firent bondirent ses petites fesses rouges fraises
- J'ai égaré les clefs... Du coup on était en retard... j'ai nargué Lee... Dit elle en faisant un gros effort sur elle même.
Trois autres claques s’abattirent cette fois-ci sur ses cuisses, elle grimaça, et commençait à avoir une terrible envie de pleurer aussi. 
- Quoi d'autre ? 
- J'ai interrompu la punition que Maitre Spanklee donnais à Lee et je vous ai désobéi... 
- Bien maintenant si Maitre Spanklee veut bien se donner la peine, dit il en désignant les fesses de Lilou... 

Lilou se sentit paralysée, Maitre Spanklee s'approcha et lui assena deux claques sèches sur les fesses, honteuse, une larme roula sur la joue de Lilou... Alors son Monsieur la prit paisiblement sur ses genoux, et tout en l'embrassant lui dit que c'était fini, qu'il était sur qu'elle avait compris. 
Et il l'embrassa fougueusement.

Après toutes ces péripéties, chacune pu remettre de l'ordre dans sa tenue, et les conversation reprirent bon train, non sans quelques taquineries des Maitres, sur l'état des fesses de leurs chipies. En fin d'après midi, Lilou et son Monsieur prirent congé, tout le monde était ravie de cette première après-midi. Et tandis que le Monsieur de Lilou racontais à Maitre Spanklee,de quel sévérité il avait du faire preuve pour que Lilou arrête de fumer, Lilou et Lee se firent en clin d’œil, en se jurant que la prochaine fois, elles leur préparaient un mauvais coup, et qu'au moins si elles se faisaient prendre, elles recevraient leurs fessées en même temps ! Elle éclatèrent alors de rires, chacun se firent une dernière bise, en se promettant de se revoir très vite. 

mardi 1 septembre 2015

La belle et la bête (23)

La belle et la bête




Notes: Et oui encore et toujours... J'ai mis milles ans à publier la suite... On ne changera pas une chipie qui gagne n'est ce pas ?! J'espère simplement que vous ne vous lassez pas de Kyara, même si personnellement, je ne vais pas vous cacher, que j'aimerais prochainement, d'ici quelques mois mettre le point final à cette histoire, afin d'avoir le temps d'écrire tout un tas d'autres choses. J'aime ces personnages et ce qu'ils racontent, mais entre la première ligne et la dernière, j'ai moi aussi pas mal évoluée.. Et par  conséquent Kyara aussi. En espérant ne pas vous décevoir, je vous dit à très vite pour la suite ! Et bonne rentrée à tous ! Soyez sage ! 


Lee qui file ranger sa chambre, 
O tragédie, O désespoir, que je déteste ça...


*****

Chapitre 23: Philosophie de la fessée
 
 Narrateur: Monsieur


Samedi 25 juillet 

 Qu'elle ne fût pas ma surprise d'apercevoir ma petite ingénue dans le hall d'entrée à 17h pile, prête à aller faire ses excuses à Sandra. Moi qui pensais qu'elle était prête à faire ses valises pour de bon, une chape de plomb s'envola de mes épaules quand je fus rassuré que son départ n'était pas pour tout de suite.. J'aimais sa présence dans ce grand manoir où la solitude me pesait parfois. Et son sourire si joyeux, cette petite fossette au coin de l’œil lorsqu'elle rit, ses petits yeux si pétillants, me réchauffaient le cœur chaque fois que je la voyais. Lorsque je vins à sa rencontre dans le couloir, je lui expliquais que Sandra se portait beaucoup mieux mais que malheureusement, nous allions reporter notre visite, car elle avais un empêchement professionnel. Je proposais donc à Kyara d'aller marcher dans le parc ce qu'elle accepta timidement. Au début? le long des allées de thuya, nous n'échangions pas le moindre mot. Seul un pivert caché dans des branches d'arbre, et le bruit du vent dans les buissons agrémentaient notre ballade d'une douce mélodie. C'est finalement elle qui pris la parole au détour d'un pommier:

- Monsieur... Vous êtes fâché ?
- Non Kyara je ne suis pas en colère, je suis plutôt contrarié par ce qu'il s'est passé, et j'aurais aimé comprendre, mais puisque tu m'a dis dans le hall tout à l'heure que tu ne t'expliquerais qu'avec Sandra et bien je n'ai d'autres choix que d'accepter ton silence n'est ce pas ?
- Heu...oui.
- Cependant je suis assez fière que tu ai pris cette décision même si tu n'échapperas pas à la sanction que je t'ai promise pour ton attitude.
- Oui. dit elle contrite.

Nous continuions à marcher, à présent dans une petite allée de graviers bordée de lavande. Près de là où je l'avais punie à la canne la première fois, à cette idée un délicieux frisson parcouru mon corps mais je m'auto-sermonnais dans ma pensée aussitôt, considérant cela déplacé. De nouveau un silence de quelques minutes s'était installé quand elle reprit:

 - Monsieur ?
- Oui Kyara ?
- Vous savez....
Elle s'était arrêté de marcher et triturais ses pieds dans les graviers, le regard vers le sol, n'osant plus me regarder et semblant très intimidée.
- Oui..
- Je...comme vous m'avez demandé...ben j'ai réfléchis... à ...voilà... une sanction... enfin une punition... Pour mon attitude avec Sandra... a ce que je ...
Je fus étonné qu'elle prenne l'initiative du sujet et l'invitai à poursuivre.
- Et bien jeune demoiselle je trouve votre démarche très courageuse, je vous écoute.... A quoi avez vous pensé...
- Ahem... ben je sais pas trop comment dire.. je...
Elle rougissait, et ses joues viraient au rouge écarlate, et cela était si troublant, impossible de retenir ce trouble en moi, j'aimais tellement la voir gênée et vulnérable ainsi... Je savais pertinemment que de tels sentiments m'étaient interdits mais c'était plus fort que moi, incontrôlable.
- Je sais à quel point il est difficile de demander sa punition soit même Kyara, mais je suis un homme patient, je suis sûre que tu vas réussir à prononcer ton idée...
- Ahem... et bien j'ai pensé à .. uhhh...
- ....
Elle prit une grande inspiration et dit à voix basse:
- Je mérite....Je mérite une.. une fessée...

Sa réponse me laissa pantois, je m'attendais à tout sauf à cela. Certes il lui était déjà arrivée de me demander de la punir à sa demande lorsque j'avais voulu la mettre à la porte pour avoir griffé le visage d'Anna.. Mais... quand je lui avais suggéré de trouver une sanction ce n'était pas à cela que j'avais pensé...
- Et bien Kyara je suis surpris lui dis-je, tandis qu'elle continuais de triturer ses pieds dans les graviers comme une gamine honteuse. Je t'avoues que quand je t'ai proposé une sanction en plus de t'excuser auprès de Sandra, je ne pensais pas forcément à cela, plutôt à une rédaction sur le sujet, et à une corvée comme laver les boxs des chevaux... Mais si tu penses que c'est ce que tu mérites...
- Et bien je... je sais que vous avez été gentil avec moi... parce que... je n'ai pas expliqué pourquoi j'ai agis comme ça... mais...
Les mots semblaient bloqués dans sa gorge, et cela avait l'air de lui demander un effort surhumain de m'avouer tout cela et je trouvais cela si attendrissant.
-  Mais ?
- Mais... je ... je sais que j'ai blessé Sandra volontairement... Et qu'ensuite je vous ai inquiété d'être partie...et la brûlure de méduse s'est douloureux, je le sais... Je veux dire, je sais que mon attitude est assez grave quand même... et je ne veux pas être ce genre de personne...
- Je suis content que vous m'avouiez cela jeune fille, cependant je pense effectivement qu'il faut marquer le coup, pour que la leçon soit apprise. Hors trimer huit heures pour laver des boxs de chevaux cela laisse le temps de réfléchir ... Donc si je vous donne une fessée... elle sera sévère... J'espère que vous en avez conscience...
A cet instant je la vit resserrer les cuisses sous sa jupette bleue comme si elle essayais de devenir invisible.
- Oui Monsieur je sais... J'ai peur mais je sais... je....
- Très bien Kyara si c'est ce que tu veux. Tu seras punie ainsi...




Je lui laissais quelques secondes pour bien assimiler ce que je venais de dire et repris:
- Voilà comment ça va se passer. Comme je considère que tu dois sérieusement réfléchir à ton attitude, tu seras en pénitence toute la soirée... est ce que c'est bien clair ?
- Oui Monsieur. dit elle la voix tremblotante.
- Kyara, regardez moi quand je vous parle, assenais je fermement reprenant de l'autorité.
Elle leva yeux en se mordant une lèvre.
- Vous allez donc filez tout de suite dans votre chambre et me faire votre devoir de philosophie qui était prévu pour demain, aujourd'hui. Et je vous ai trouvé un sujet parfaitement adapté à votre cas qui s'intitule: "la violence porte t'-elle atteinte à la liberté ?".  Vous pourrez entre autre utiliser les textes que nous avons déjà travaillé ensemble, en revanche pas de recherches internet; je veux tester vos connaissances et au passage faire le point sur où vous en êtes du cours de philo. Et soit dit en passant chaque faute d'orthographe sera sanctionné. Je veux deux copies double. Vous avez 4 heures. Anna viendra vous amener votre repas dans la chambre.
- Oh pas une dissertation... sérieusement ?
- Je vous demande pardon Kyara dis je en colère, en approchant mon visage du sien.
Gênée elle détourna le regard.
- C'est pas ce que ... ce que je voulais dire Monsieur c'est juste que...
- Il n'y à pas de c'est juste que, Kyara ! Vous être punie à votre demande, maintenant vous baissez les yeux et je ne veux plus entendre un mot. Vous aurez une fessée, et un supplément si vous laissez des fautes d'orthographes. Et c'est quatre heures et pas une minute de plus, est ce que je suis clair ?
Elle soupira.
- Oui Monsieur.
- Et tu arrêtes de souffler.
Elle leva les yeux au ciel.
- Très bien Kyara, tends tes mains, dis je en dégrafant ma ceinture.
Le visage de Kyara devient livide et ses yeux s'arrondirent dans ma direction, apeurée.
- Obéis !
Le visage triste elle tendis les mains, silencieusement
- La paume vers le haut, mains tendues assenais-je.
Elle exécuta les bras mal habile presque tremblotante. Je glissais ma main sous sa main droite pour la repositionner, et frappais d'un coup sec dans le creux de la sienne. Aussitôt, elle la retira en la secouant comme pour ôter la douleur.
- Tu replaces ta main immédiatement, ce n'est pas fini. J'étais décidément intransigeant.
- Monsieur...
- Kyara obéis, ou c'est les fesses à l'air que tu vas finir, ici au beau milieu du jardin, sur mes genoux.
Sa lèvre se mit à trembler, et elle replaça sa deuxième main tendu devant elle. Je frappais alors un deuxième coup dans la même main et elle ne bougea pas. Je pris sont autre main et lui donnais deux coups de ceinture bien appliqués également. Ses petits yeux verts se remplirent de larmes sans en laisser couler une seule.
- Tu peux ranger tes mains Kyara lui dis-je avec douceur.
- Merci Monsieur souffla t'elle.
-Bien.
- As tu des questions sur ce que tu dois faire à présent ?
- Non Monsieur dit elle.
Je sentais qu'elle avais leur gros, alors je lui déposais un baiser sur le front, ce qu'il la surpris et fit apparaitre un demi sourire contrit sur son visage.
- Allez file t'a du boulot. Et elle disparue au loin en trottinant vers la tâche que je venais de lui confier.

 Quelques heures plus tard j'entrais dans la chambre de Kyara qui était studieusement attelée à sa tâche, et croquant dans un sandwich. Je m'assis sur le lit le temps qu'elle se relise et insistais sur le fait que je ne voulais voir aucune fautes d'orthographes. Elle s’exécuta consciencieusement. Je lui demandais alors d'aller se mettre au coin, mains sur la tête, tandis que je relisais sa copie. Le développement de son sujet était très pertinent et elle s'était inspirée de théories des philosophes des Lumières qui correspondaient parfaitement au sujet donné, j'étais impressionné. Pendant ce temps je la voyais s'impatienter dans le coin, essayant de maitriser son impatience. Je comptais toute fois près de 53 fautes d'orthographes. Après un long moment, je lui demandais de venir près du bureau sur lequel j'étais assis entrain de relire sa copie. Elle avançais à petits pas en se triturant les mains, les yeux rivés au sol.

- Bien Kyara, le devoir est bon mais il reste 53 fautes d'orthographes. Alors tu vas te pencher sur le bureau et relire ta copie, et je vais t'aider à les corriger moi, jusqu'à ce que elles s'imprègnent dans la peau de ton derrière.
- Oh Monsieur...
- C'est pas toi qui m'a demandé d'être punie par une fessée Kyara ?
- Si mais...
- Mais quoi ? Tu croyais que j'allais être tout gentil parce que c'est à ton initiative ?
- Ben...
- Oh crois moi jeune fille tu vas pleurer.
Elle se mordit la lèvre à nouveau. Je la penchais sur le bureau, relevais sa jupe, et la coinçais dans sa petit culotte noir. Je pris ma ceinture et lui intimais de faire la lecture.
- Je lis ? Heu... à haute voix ? demanda t-elle ses fesses tendues toujours penchée en avant sur le bureau.
- Oui tu m'a très bien compris. Je veux que tu me lise ta copie.
- Heu d'accord ok...
Elle pris une grande inspiration et commença:
- Depuis l'apparition de l'homme "a" la préhistoire, la violence a toujours existé..
Je lui assenais un coup de ceinture qui la surpris et lui coupa net la parole.
- Il y à un accent sur le a, car c'est une préposition que tu ne peux pas remplacer par le verbe avoir. Continue.
- Je...
- Obéis Kyara, continue la lecture.
Elle semblait déstabilisée mais repris.
- ... à toujours existé que ce soit au travers de guerres, de conflits "familliales"...
Un deuxième coup cingla son derrière rebondi, ce qui la coupa net à nouveau. Elle encaissa le coup en soufflant comme si cela lui demandais un effort.
- On dit familiaux, c'est au pluriel. Reprend.
Et ainsi de suite, elle relue toute sa rédaction qui fut parsemée de 53 coups de ceintures sur sa petite culotte, ce qui laissais de magnifiques traces rouges, de plus en plus écarlates au fil du temps. La ceinture étant un objet de punition sévère, je vérifiais toutefois de lui laisser le temps de récupérer entre chaque coup et modérais un tant sois peu l'impact de mes slaves de cuir. La lecture fut longue et pénible pour elle. Elle arriva au bout les larmes aux yeux, qui finirent par rouler sur sa copie.


 


- Bien relèves toi.
Penaude elle se tourna vers moi. Je m'assis sur la chaise de son bureau et la positionna face à moi.
- Bien maintenant je vais te donner une fessée déculottée sur mes genoux comme une petite fille désobéissante, jusqu'à ce que tu pleures toutes les larmes de ton corps et que j'entende des excuses sincères sortir de ta petite bouche. Maintenant je veux que tu baisses ta culotte, en me regardant droit dans les yeux.
- Oh Monsieur... Je suis désolée je vous en prie, j'ai compris. Je vous demande pardon, je le ferais plus.
- Ça ne me suffit pas , baisses ta culotte tout de suite.
Je lui assenais une claque sur la cuisse. Lentement à nouveau les yeux embuée de larmes elle la descendit lentement et maladroitement. Je la couchais alors sur mes genoux et entama la fessée sur ses fesses déjà flamboyantes. Rapidement elle glissa sa main, pour m'empêcher de lui claquer le postérieur, et je lui bloquais aussitôt dans le creux du dos. Des petits gémissements sortaient du fond de sa bouche et ses fesses rouges comme deux grosses fraises juteuses se dandinaient pour amortir l'impact des coups.
- Monsieur pardon je suis désolée...
Clac, clac, clac.
- Il fallait y réfléchir avant, sur la plage.
- Je ..
Clac clac clac clac clac clac.
- Je (clac) ne supporterais pas (clac) que tu (clac) continue (clac) à te comporter comme (clac) une gamine désobéissante. Et chaque fois (clac) je te mettrais (clac) une fessée déculottée (clac) sur mes genoux (clac) jusqu'à ce que la leçon (clac) soit apprise. Tu devrais (clac) avoir honte, que je sois obligé (clac, clac) de te mettre une fessée, (clac) déculotté (clac, clac) à ton âge ! dis je d'une voix hachée et essoufflée entre chaque impact de ma main brulante sur ses fesses.
Elle se mit à pleurer.
- J'aurais pas du je sais... dit elle d'une voix sanglotante. Promis (clac, clac, clac) je le ferais plus... (clac)... je suis désoléééééé... Je voulais lui faire mal... c'est vrai elle.. (clac, clac, clac) elle m'agaçais dit elle en ayant du mal à reprendre son souffle. Monsieur (clac, clac...) je vous décevrais plus... pardonnn... pardon.. dit elle en pleurant, éteinte.


 


Je lui donnais encore une dizaine de claque très appuyées et cessais enfin en relâchant ma prise. Je passais une main sur son derrière brûlant et me mis à le caresser. Elle était là sur mes genoux, et s'était complètement abandonnée, s'était si attendrissant. J'avais tant envie de la caresser, mais je me retint. Puis je la relevais et la pris sur mes genoux pour la blottir tout contre moi. J'avais l'impression que cela faisait si longtemps que je ne l'avais pas tenue ainsi pelotonnée contre moi. J'humais l'odeur de ses cheveux qui sentait le miel et l'orange et attendit patiemment qu'elle se calme...


( A suivre...).